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1.
Med Sante Trop ; 29(2): 170-174, 2019 May 01.
Article En | MEDLINE | ID: mdl-31379343

The severity of a blood pressure spike is more closely associated with serious organ dysfunction, which can be life-threatening in the short term, than with the blood pressure level itself. A hypertensive emergency is defined as the presence of high blood pressure associated with acute organ dysfunction. The specific nature of high blood pressure in black patients may cause more frequent hypertensive emergencies. In this retrospective case study, we report our experience and highlight the specific prognosis for black African patients. We examined three patients, aged 27, 47, and 59 years, admitted to intensive care for a hypertensive emergency with neurological distress, and all in status epilepticus. Average blood pressure was 171 mm HG. Treatment included intubation, ventilation, and induction of a barbiturate coma, plus antihypertensive treatment. The outcome was favorable, with an average stay of 5 days. The frequency of hypertensive emergencies varies according to age, ethnic origin, and period studied. Black patients often suffer from more severe forms of high blood pressure, arising at an earlier age. Hypertensive encephalopathy can occur in patients with or without chronic hypertension. Without treatment, the encephalopathy induces a coma that can quickly become fatal. Its spontaneous course is catastrophic (10-20% survival at one year), but more favorable with adequate treatment (60-80% survival at five years).


Hypertensive Encephalopathy/complications , Status Epilepticus/complications , Adult , Black People , Emergencies , Humans , Hypertensive Encephalopathy/diagnosis , Male , Middle Aged , Retrospective Studies , Status Epilepticus/diagnosis
2.
Mali Med ; 34(1): 48-52, 2019.
Article Fr | MEDLINE | ID: mdl-35897256

Envenomation by snakebite remains a public health problem in Africa. The purpose of our work was to study the acute complications of snakebite envenomation and the risk factors for its complications. METHOD: This was a retrospective and prospective study over a period of 07 years, which was performed in the department of anesthesia resuscitation and emergencies of CHU-Mother Child "Luxembourg" of Bamako. RESULTS: During this period, 76 cases of Ophidian envenomation were recorded. The average age of the patients was 34 ± 12 years old. . The family of vipers (Echis and Bitis) was the most incriminated 84,61% of the cases. Hemorrhagic complications were observed in 78.94% of patients, other complications (cardiovascular, neurological, dermatological, ophthalmological ...) were observed in 21.05% of patients. The main risk factor for complication observed was the delay in management (> 6 hours delay) in 100% of patients. The absence of serotherapy and or the initial resort to traditional treatment have been complicating risk factors. Almost all victims of Elapidae bites, 89.9% (5/6 cases) died. Serotherapy was performed urgently in 97.4% of cases. The morbidity in our study was 10.52% with a 7.8% mortality. CONCLUSION: in our context, the management of envenomations by snake bite remains dependent on a multitude of complications. The prognosis is conditioned by the early administration of symptomatic treatment and a specific antidote.


L'envenimation par morsure de serpent reste un problème de santé publique en Afrique. Notre travail avait pour objectif d'étudier les complications aigues de l'envenimation par morsure de serpent, ainsi que les facteurs de risque de ses complications. MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective et prospective sur une période de 07 ans, qui a été réalisée dans le département d'anesthésie réanimation et des urgences du CHU-Mère enfant le « Luxembourg ¼ de Bamako. RÉSULTATS: Durant cette période, 76 cas d'envenimations ophidiennes ont été enregistrés. L'âge moyen des patients était de 34±12 ans. . La famille des vipéridés (Echis et Bitis) était la plus incriminée 84,61% des cas. Les complications hémorragiques ont été observées chez 78,94% des patients, d'autres complications (cardiovasculaire, neurologique, dermatologique, ophtalmologique...) ont été observées chez 21,05% des patients. Le principal facteur de risque de survenu de complication observé, était le retard de prise en charge (délai> 6heures) Chez 100% des patients. L'absence de la sérothérapie et ou le recours initial à un traitement traditionnel ont été des facteurs de risques de complication. La presque totalité des victimes par morsures d'Elapidés soit 89,9% (5/6 cas) sont décédées. La sérothérapie a été effectuée en urgence chez 97,4% des cas. La morbidité dans notre étude a été de 10,52% avec une mortalité à 7,8%. CONCLUSION: dans notre contexte, la prise en charge des envenimations par morsure de serpent reste tributaire d'une multitude de complications. Le pronostic est conditionné par l'administration précoce d'un traitement symptomatique et d'un antidote spécifique.

3.
Mali méd. (En ligne) ; 34(1): 48-52, 2019. ilus
Article Fr | AIM | ID: biblio-1265732

L'envenimation par morsure de serpent reste un problème de santé publique en Afrique. Notre travail avait pour objectif d'étudier les complications aigues de l'envenimation par morsure de serpent, ainsi que les facteurs de risque de ses complications. Méthode : Il s'agissait d'une étude rétrospective et prospective sur une période de 07 ans, qui a été réalisée dans le département d'anesthésie réanimation et des urgences du CHU-Mère enfant le « Luxembourg » de Bamako. Résultats : Durant cette période, 76 cas d'envenimations ophidiennes ont été enregistrés. L'âge moyen des patients était de 34±12 ans.La famille des vipéridés (Echis et Bitis) était la plus incriminée 84,61% des cas. Les complications hémorragiques ont été observées chez 78,94% des patients, d'autres complications (cardiovasculaire, neurologique, dermatologique, ophtalmologique…) ont été observées chez 21,05% des patients. Le principal facteur de risque de survenu de complication observé, était le retard de prise en charge (délai> 6heures) Chez 100% des patients. L'absence de la sérothérapie et ou le recours initial à un traitement traditionnel ont été des facteurs de risques de complication. La presque totalité des victimes par morsures d'Elapidés soit 89,9% (5/6 cas) sont décédées. La sérothérapie a été effectuée en urgence chez 97,4% des cas. La morbidité dans notre étude a été de 10,52% avec une mortalité à 7,8%. Conclusion : dans notre contexte, la prise en charge des envenimations par morsure de serpent reste tributaire d'une multitude de complications. Le pronostic est conditionné par l'administration précoce d'un traitement symptomatique et d'un antidote spécifique


Antivenins , Mali , Rat-Bite Fever
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